Toute femme est belle

Une femme est belle
quand elle ose être qui elle est,
quand elle ose danser sa vie
et quand elle ose exprimer ses ressentis.
Elle révèle alors sa sensualité naturelle,
en étant simplement elle-même, parfaite,
dans sa parfaite imperfection. »

— Barbara Gardénia .

La vie n’est pas étanche

Je rêve son visage, je décline son corps Et puis je l’imagine habitant mon décor J’aurais tant à lui dire si j’avais su parler Comment lui faire lire au fond de mes pensées? Mais comment font ces autres à qui tout réussit? Qu’on me dise mes fautes, mes chimères aussi Moi j’offrirais mon âme, mon cœur et tout mon temps Mais j’ai beau tout donner, tout n’est pas suffisant S’il suffisait qu’on s’aime, s’il suffisait d’aimer Si l’on changeait les choses un peu, rien qu’en aimant donner S’il suffisait qu’on s’aime, s’il suffisait d’aimer Je ferais de ce monde un rêve, une éternité J’ai du sang dans mes songes, un pétale séché Quand des larmes me rongent que d’autres ont versées. La vie n’est pas étanche, mon île est sous le vent. Les portes…

Une épingle de courage

Le flux relationnel  laisse peu d’espace d’expression, il faut rester calme. On a besoin de repos au plan nerveux, rien d’alarmant, fuyez l’agitation et vous retrouverez votre aplomb intérieur. Suivre notre instinct et changer ce qui doit l’être ! Cependant, ne jetez pas le bébé avec l’eau du bain, prenez le temps de mesurer objectivement les conséquences de ses choix.  Il ne sera pas facile de sortir son épingle du jeu parmi les volontés qui cherchent à écraser les autres. Il va falloir être impitoyable. Le ciel vous donne aussi l’aplomb et le courage de nous battre pour relever les défis. Il en reste à développer essentiellement la patience et la ténacité. C’est une fin de trimestre et d’année intensive, vous devez être sur tous les fronts. Heureusement une organisation à point doit être irréprochable.

No matter how nice you are

No matter how cute your eyes are,
But so cute is your look. How cute is your mouth,
But so cute is your smile, how cute is your voice,
But the words that form with her.
No matter how big you are,
But the greatness you carry inside. How strong is your body,
But so strong is your heart.
No matter you have a good ear,
But you can hear.
No matter how cute your hands are,
But you offer them to others. How strong your arms are,
But how many hugs with them.
No matter what the mirror shows you,
But what you show him to.
No matter how superficial,
But what is invisible to the eyes…

Le Bio en Tunisie

L’agriculture biologique est l’un des secteurs clé en Tunisie. Pour booster ce créneau, considéré relativement récent en Tunisie puisqu’il a commencé depuis la fin des années 80 par des initiatives privées et a évolué lentement jusqu’à 2000, une stratégie nationale a été élancée en 2015 et a réussi à promouvoir le secteur.

En effet, les superficies de l’agriculture biologique ont atteint 370000 hectares en 2017 contre 18 600 hectares en 2002 et 300 ha en 1997. Quant au nombre d’opérateurs, il a passé de 481 en 2002 à 4700 en 2017.
Le secteur de l’agriculture biologique en Tunisie contribue à la régression du déficit de la balance commerciale à l’échelle nationale. En effet, les exportations des produits biologiques sont en croissance continue. Parmi les produits biologiques les plus demandés par les pays mondiaux, comme l’huile d’olive(38600 tonnes exportés d’une valeur de 429,300 Millions de dinars), les dattes (9400 tonnes d’une valeur de 71,200 Millions de dinars), les plantes aromatiques et médicinales, les fruits et les légumes.

Selon le Ministère de l’Agriculture, des Ressources Hydrauliques et de la Pêche, les quantités exportées de produits biologiques au 31 août 2018 sont estimées à 48500 Tonnes pour une valeur de 503,700 millions de dinars. Ces exportations touchent 60 produits et 36 destinations.
Il est à souligner que la stratégie nationale Bio en Tunisie vise à bâtir un modèle tunisien de l’agriculture biologique soutenu par une meilleure gouvernance du secteur, à l’horizon 2020. Elle a deux objectifs principaux qui sont de contribuer à dynamiser et à diversifier l’économie nationale à travers le développement et la valorisation du secteur de l’agriculture biologique et à concevoir un processus de gouvernance du secteur de l’agriculture biologique à travers le renforcement des capacités des différentes parties prenantes, la consolidation du système de contrôle des produits bio, l’amélioration de la compétitivité du produit Bio Tunisien, le suivi et l’évaluation du processus de mise en œuvre des différents programmes…

Nourrissons : une vie à protéger

  • En 2017, 2,5 millions d’enfants dans le monde sont décédés pendant leur premier mois de vie – ce qui représente environ 7 000 décès de nouveau nés par jour, avec 1 million de décès le premier jour de vie et près d’un million de décès au cours des six jours suivants.
  • C’est au cours des 28 premiers jours de vie (période néonatale) que le risque de décès d’un enfant est le plus élevé. En 2017, sur l’ensemble des décès d’enfants de moins de 5 ans, 47 % sont survenus chez des nouveau nés, contre 40 % en 1990.
  • Les enfants qui meurent au cours des premiers 28 jours de vie présentent des affections et des maladies associées à l’absence de soins de qualité à la naissance ou à l’absence de soins ou de traitements dispensés par un personnel qualifié immédiatement après la naissance et dans les premiers jours de vie.
  • Les naissances prématurées, les complications lors de l’accouchement (asphyxie à la naissance ou absence totale de respiration), les infections et les malformations congénitales sont à l’origine de la plupart des décès néonatals.
  • Les femmes qui bénéficient de soins dirigés par des sages femmes visant à assurer une continuité des soins présentent un risque 16 % moindre de perdre leur enfant et 24 % moindre d’accoucher prématurément, si ces sages femmes sont des professionnelles qualifiées satisfaisant aux normes internationales.

Etat des lieux 

En 2017, 2,5 millions d’enfants dans le monde sont décédés au cours de leur premier mois de vie. On compte environ 7 000 décès de nouveau‑nés par jour, ce qui représente 47 % de l’ensemble des décès d’enfants de moins de 5 ans, chiffre en hausse par rapport à 1990 où il était de 40 %. En 2015, on comptait environ le même nombre d’enfants mort‑nés.
Depuis 1990, de grands progrès ont été accomplis dans le monde en matière de survie de l’enfant. Au niveau mondial, le nombre de décès néonatals est passé de 5 millions en 1990 à 2,5 millions en 2017. Cependant, la baisse de la mortalité néonatale entre 1990 et 2017 a été plus lente que celle de la mortalité chez les enfants de moins de 5 ans ayant dépassé la période néonatale (51 % contre 62 %, toujours au niveau mondial). En Afrique subsaharienne, région où le taux de mortalité des enfants de moins 5 ans reste le plus élevé, la part des décès néonatals est relativement faible (37 %). En revanche, en Europe, région où le taux de mortalité des enfants de moins de 5 ans est le plus faible, 54 % de l’ensemble des décès dans cette tranche d’âge ont lieu pendant la période néonatale.

Causes

La majorité des décès néonatals (75 %) ont lieu au cours de la première semaine de vie, et environ 1 million de nouveau‑nés meurent dans les premières 24 heures. En 2016, les naissances prématurées, les complications lors de l’accouchement (asphyxie à la naissance ou absence totale de respiration), les infections et les malformations congénitales sont à l’origine de la plupart des décès néonatals. À partir de la fin de la période néonatale et jusqu’au terme des 5 premières années de vie, la pneumonie, la diarrhée, les malformations congénitales et le paludisme constituent les principales causes de décès. La malnutrition est un facteur sous‑jacent qui rend les enfants plus vulnérables aux maladies graves.

Des soins importants pour les nouveaux -nés

Tous les nourrissons devraient bénéficier des soins suivants:

  • protection thermique (par exemple, en encourageant le peau à peau entre la mère et l’enfant);
  • soins hygiéniques du cordon ombilical et soins cutanés;
  • allaitement précoce et exclusif;
  • évaluation de signes indiquant des problèmes de santé graves ou la nécessité de soins supplémentaires (par exemple, nourrissons de faible poids de naissance, malades ou dont la mère est infectée par le VIH);
  • traitement préventif (par exemple, vaccination par le BCG et l’hépatite B, administration de vitamine K et prophylaxie oculaire).

Il est conseillé aux familles de:

  • consulter rapidement un médecin si nécessaire (les signes de danger sont des difficultés du nourrisson à s’alimenter, une diminution de son activité, des difficultés respiratoires, de la fièvre, des crises ou des convulsions, ou une baisse de la température corporelle);
  • déclarer la naissance;
  • faire vacciner l’enfant dans les délais prévus par le calendrier national.