Sometimes, when you click « send », it is convinced that the message comes straight to a person’s heart; others, and this is one of those, you have instead the feeling that words fall into the void.

~ David Levithan | every day

Train de vie

Dites-vous qu’il faut être prêt à vous engager sur le chemin qui vous mène quelque part. La situation se transformera alors d’elle-même avec un aspect plus fort et un esprit plus confiant. La configuration spatiale et planétaire se manifeste dans une expression juste des sentiments. Le ciel vous encourage à sortir et à entretenir une vie sociale animée.

Time

There’s a judge called « time », that puts everything in his place…

Toute femme est belle

Une femme est belle
quand elle ose être qui elle est,
quand elle ose danser sa vie
et quand elle ose exprimer ses ressentis.
Elle révèle alors sa sensualité naturelle,
en étant simplement elle-même, parfaite,
dans sa parfaite imperfection. »

— Barbara Gardénia .

Le jour où la Tunisie aura enfin retrouvé sa souveraineté

On s’agite , à droite , à gauche , à l’extrême droite, on est atteint d une grande fébrilité à l approche de l’échéance fatidique du passage par les urnes. Quant à nous autres électeurs et électrices regardons de haut ce cirque morbide où tous les coups sont bons les uns contre les autres ,et , demain sera un autre jour. J’entends le jour où la Tunisie aura enfin retrouvé sa souveraineté loin des mollahs et des oligarchies et se sera remise au travail pour un mieux être largement partagé .

Une femme, une beauté

La femme mûre ne domine pas, elle touche, elle agit, elle progresse, elle avance, elle ne stagne pas, elle évolue. Elle ne provoque pas, elle est provocante. Elle n’est pas intelligente, elle est sage. Elle ne s’insinue pas, elle montre subtilement le chemin. Elle n’est pas pressée, elle attend le bon moment. Elle ne vole pas, elle flotte. Elle ne se soucie pas de la quantité, elle préfère la qualité. Elle ne voit pas, elle regarde. Elle ne marche pas, elle se promène. Elle n’est pas exigeante, elle aime juste savourer. Elle ne juge pas, elle analyse. Elle ne réconforte pas, elle réchauffe le coeur. Elle ne cherche pas, elle éveille les sens. Elle n’est pas exigeante, elle est active, elle est sélective. Elle ne brille pas, elle illumine. Elle n’aime pas être regardée, elle préfère être écoutée. Elle ne devine pas, elle perçoit et elle convoite le parcours. Elle ne parle pas de sexe, elle est maître dans l’art de l’amour. Elle n’est pas facile, elle est flexible, intelligente, imprévisible et objective. Elle ne commande pas, elle gère. Elle ne renaît pas, elle est en floraison constante.
Et enfin la femme mûre est un ensemble de toutes les beautés possibles car c’est une femme, une vraie, une belle, une beauté ….

L’Amour 

 

« Lorsque l’amour vous fait signe suivez-le,
Bien que ses chemins soient escarpés et sinueux.
Et quand ses ailes vous étreignent, épanchez-vous en lui,
En dépit de l’épée cachée dans son plumage qui pourrait vous blesser.
Et dès lors qu’il vous adresse la parole, croyez en lui,
Même si sa voix fracasse vos rêves, comme le vent du nord saccage les jardins.
Car comme l’amour vous coiffe d’une couronne, il peut aussi vous clouer sur une croix.
Et de même qu’il vous invite à croître, il vous incite à vous ébrancher.
Autant il s’élève au plus haut de vous-même et caresse les plus tendres de vos branches qui frémissent dans le soleil,
Autant cherche-t-il à s’enfoncer au plus profond de vos racines et à les ébranler dans leurs attaches à la terre.
Pareilles à des brassées de blé, il vous ramasse et vous enlace.
Il vous bat au fléau pour vous mettre à nu.
Il vous passe au tamis pour vous libérer de votre balle.
Il vous moud jusqu’à la blancheur.
Et il vous pétrit au point de vous assouplir.
Puis il vous livre à son feu vénéré, afin que vous deveniez pain sacré pour le saint festin de Dieu.
Voilà tout ce que l’amour fera en vous afin que vous puissiez déceler les secrets de votre coeur et devenir ainsi un fragment du cœur de la Vie.
Mais si dans votre crainte vous ne recherchiez que la paix et le plaisir de l’amour,
Alors il serait préférable pour vous de couvrir votre nudité, de quitter l’aire de battage de l’amour,
Et de vous retirer vers un monde sans saisons,
Où vous pourrez rire sans laisser jaillir tous les éclats de votre rire,
Où vous pourrez pleurer sans jamais libérer toute l’amertume de vos larmes.
L’amour ne donne rien que lui-même et ne prend rien que lui-même.
Il ne peut posséder et ne peux être possédé.
Car l’amour suffit à l’amour.
Lorsque vous aimez, ne dites pas : « Dieu est dans mon cœur. »
Dites plutôt : « Je suis dans le cœur de Dieu. »
Et ne croyez pas que vous puissiez diriger le cours de l’amour.
Car si l’amour vous trouve digne, lui-même guidera votre cœur.
L’amour n’a point d’autre désir que de s’accomplir.
Mais si vous aimez et devez éprouver des désirs, que ceux-ci soient les vôtres :
Fondre en un ruisseau qui chante sa mélodie à la nuit.
Connaître la douleur d’un flot de tendresse.
Être blessé par votre propre perception de l’amour ;
Et laisser couler votre sang volontairement et joyeusement.
Vous réveiller à l’aube avec un cœur ailé et rendre grâce à Dieu pour cette nouvelle journée d’amour.
Vous reposer à midi et méditer sur l’extase de l’amour.
Regagner votre foyer au crépuscule en remerciant le ciel.
Puis vous endormir avec une prière pour l’être aimé en votre cœur et un chant de louange sur vos lèvres. »

Khalil Gibran « Le prophète »

UNE PERLE DE JEAN D’ORMESSON :

 

Que vous soyez fier comme un coq
Fort comme un bœuf
Têtu comme un âne
Malin comme un singe
Ou simplement un chaud lapin
Vous êtes tous, un jour ou l’autre
Devenu chèvre pour une caille aux yeux de biche
Vous arrivez à votre premier rendez-vous
Fier comme un paon
Et frais comme un gardon
Et là … Pas un chat !
Vous faites le pied de grue
Vous demandant si cette bécasse vous a réellement posé un lapin
Il y a anguille sous roche
Et pourtant le bouc émissaire qui vous a obtenu ce rancard
La tête de linotte avec qui vous êtes copain comme cochon
Vous l’a certifié
Cette poule a du chien
Une vraie panthère !
C’est sûr, vous serez un crapaud mort d’amour
Mais tout de même, elle vous traite comme un chien
Vous êtes prêt à gueuler comme un putois
Quand finalement la fine mouche arrive
Bon, vous vous dites que dix minutes de retard
Il n’y a pas de quoi casser trois pattes à un canard
Sauf que la fameuse souris
Malgré son cou de cygne et sa crinière de lion
Est en fait aussi plate qu’une limande
Myope comme une taupe
Elle souffle comme un phoque
Et rit comme une baleine
Une vraie peau de vache, quoi !
Et vous, vous êtes fait comme un rat
Vous roulez des yeux de merlan frit
Vous êtes rouge comme une écrevisse
Mais vous restez muet comme une carpe
Elle essaie bien de vous tirer les vers du nez
Mais vous sautez du coq à l’âne
Et finissez par noyer le poisson
Vous avez le cafard
L’envie vous prend de pleurer comme un veau
(ou de verser des larmes de crocodile, c’est selon)
Vous finissez par prendre le taureau par les cornes
Et vous inventer une fièvre de cheval
Qui vous permet de filer comme un lièvre
C’est pas que vous êtes une poule mouillée
Vous ne voulez pas être le dindon de la farce
Vous avez beau être doux comme un agneau
Sous vos airs d’ours mal léché
Faut pas vous prendre pour un pigeon
Car vous pourriez devenir le loup dans la bergerie
Et puis, ç’aurait servi à quoi
De se regarder comme des chiens de faïence
Après tout, revenons à nos moutons
Vous avez maintenant une faim de loup
L’envie de dormir comme un loir
Et surtout vous avez d’autres chats à fouetter.

Billet d’humour de Jean D’ORMESSON !!! Et hommage à la langue française

Un paysage en émotion

Vous êtes aux anges, tout est parfait, vous avez marqué votre trace et vous avez laissé votre empreinte bien visible, poignante, douce et surtout humaine. Vous avez gagné à délaisser votre peur et votre anxiété. » On vous a déroulé le tapis rouge », dit-on. En outre, votre éloquence vous assure d’une écoute attentive et d’une admiration sans bémol de vos interlocuteurs résolument conquis ! Vos efforts sont reconnus et les récompenses pleuvent. L’engagement se paie mais cela un prix. Un accident imprévu et imprévisible. Vous sortez de la salle, vous trébuchez à la première marche. Vous tombez, Aïe ma jambe gauche, vous sentez la douleur aigue, comme ça fait mal, votre tête bouillonne et l’émotion vous accapare partout, »je me mets debout softy and slowly », « heureusement rien n’est cassé », « une chute désagréable » le vigile de la sécurité vient vous voir et vous demande : »Vous allez bien, ça va, buvez un verre d’eau » et vous devez vous relevez avec attention, marcher et partir ailleurs pour une autre charge.Vous l’aurez bien compris ainsi, vous n’allez pas vous rouiller, vous vous lâchez sensuellement, pratiquement, sereinement et tranquillement. Les expériences toutes plus significatives les unes que les autres et particulièrement enrichissantes en sauvegardant tout de même un œil avisé en arrière-plan pour ne pas s’y perdre dans le paysage.

La secte radicale de Rgueb

La secte radicale de Rgueb n’est qu’un échantillon d’un fléau du terrorisme et du radicalisme qui ronge la société tunisienne, fléau nourrit par la pauvreté et la marginalisation des régions d’ombres, par l’appauvrissement culturel, intellectuel et matériel des citoyens en marge de la citoyenneté, de gens pour qui vivre et mourir est à peine une double mesure ! C’est la partie terrifiante et apparente de l’iceberg où vient s’échouer l’espoir s’interférant avec le désespoir devant l’indifférence coupable, cupide d’un pouvoir lâche et englué dans ses compromissions honteuses pontant une avidité non infime mais illimité d’extravagance et de pouvoir. Il ne fallait pas rendre des enfants violentés, maltraités, ou menacés à leurs parents, ces derniers doivent être jugés.Une démission de la justice et une atteinte aux droits de ces enfants innocents…

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